Hakim Belabbes est l'un des invités de marque du grand rendez-vous cinématographique de Tunis. Il fait partie des jurys des ateliers "Chabaka" et "Takmil" permettant à des cinéastes africains et arabes de présenter leur film, en phase de post-production.
"Ce sont ce genre d'initiatives dont a besoin le cinéma arabe pour marquer son empreinte au niveau international", nous déclare ce natif de Bejaâd, qui vit et travaille à Chicago (dans le nord-est des Etats-Unis).
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La réalisateur des "Fibres de l’âme" revient sur son vécu aux USA et donne son avis sur le cinéma marocain. Pour lui, tout n'est pas question de moyens. "Il faut, dit-il, des idées novatrices et l'encouragement des jeunes cinéastes."
Interrogé sur le Festival international de Marrakech (FIFM 2018), Hakim Belabbes affirme qu'il ne sera pas présent à cet événement. "Je refuse d'être un simple spectateur. J'y participerai lorsque j'aurai une nouveauté à présenter", explique-t-il.
