Il y a quelques jours, l’émission française Sept à Huit, animée par Harry Roselmack revenait dans un reportage d’une vingtaine de minutes sur le cas Saad Lamjarred, en s’interrogeant de but en blanc, «star et violeur?».
Une question qui est, depuis, sur toutes les lèvres et les réseaux sociaux. Depuis, le journal Le Monde s’est à son tour emparé de ce sujet juteux, et en profite pour revenir sur cette affaire qui secoue autant en France qu'au Maroc et qui oppose les fans du chanteur à ses détracteurs, en une véritable guerre des tranchées.
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Me Jean-Marc Fedida, qui a continué à assurer la défense de la pop star après que le célèbre avocat Eric Dupont-Moretti ait décidé de ne plus le représenter, s’est exprimé dans les colonnes du Monde en déclarant de prime abord: «c’est une affaire complexe».
Et de poursuivre: «lorsqu’une femme accompagne un homme à son hôtel en plein milieu de la nuit, sans contrainte et qu’il y a des marques d’affection, il y a nature à se méprendre. Nous privilégions l’hypothèse du viol par rétractation de consentement».
Selon l’avocat, «la plaignante a menti sur des points essentiels» et affirme que «concernant Mme Prioul, les agressions ont été réciproques puisque des coups ont été portés à mon client aussi. Peut-être que ces derniers ont eu des relations un peu passionnées».
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Jean-Marc Fedida dresse ensuite le portrait d’un Saad Lamjarred confiné dans son appartement parisien, «éprouvé» et «profondément traumatisé» par ses séjours en prison.
Quant aux accusations, dévoilées dans l’émission Sept à Huit, selon lesquelles le clan Lamjarred aurait tenté de soudoyer les supposées victimes avec de grosses sommes en échange de leur silence et du retrait de leur plainte, l’avocat de la pop star assure que celui-ci n’était pas au courant de telles manœuvres.