Alors que le Maroc enchaîne les succès diplomatiques, le régime algérien n’a eu de cesse de minimiser verbalement les victoires du Royaume, ses actes disent cependant tout le contraire. L’hystérie de la junte algérienne a atteint son paroxysme après la rencontre, le 7 avril à Rabat, du président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, avec le roi Mohammed VI.
Suite à cette rencontre qui a été sanctionnée par une déclaration conjointe qui ouvre une nouvelle page dans la relation entre le Maroc et l’Espagne, le régime algérien a activé un responsable au ministère des Affaires étrangères pour réagir à la visite de Pedro Sanchez à Rabat. Il s’agit du pathétique Amar Belani, qui porte le titre d'«envoyé spécial chargé de la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb», qui a remis le même entretien à deux journaux différents, l’un algérien, l’autre espagnol.
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L’entretien dans un journal algérien a été publié, sous le couvert de l’anonymat, par TSA qui cite un «haut responsable» algérien, alors que pour les mêmes propos publiés dans le journal espagnol El Confidencial, Amar Belani a révélé son identité.
C’est donc à travers ce nouvel épisode de «La Khayma Le360», et plus précisément depuis le célèbre quartier de Maâtallah, que nous nous plongeons dans les derniers développements relatifs au dossier du Sahara et les réactions du régime algérien après le dernier succès diplomatique du Maroc, avant d’évoquer les raisons pour lesquels la nouvelle position de l’Espagne sur le Sahara ne risque pas de changer.