Ces personnes ont été placées en détention préventive par les parquets généraux suite à quelques 1244 plaintes déposées par des candidats concurrents, selon la Commission gouvernementale de suivi des élections.
Sur ce total de plaintes, 258 personnes ont été poursuivies dont 46 déjà écrouées. L'achat des voix, le recours aux intermédiaires et à la corruption, ainsi que la falsification de documents et les agressions (surtout verbales), ont constitué les principaux motifs de ces plaintes.
Le Conseil national des Droits de l'Homme (CNDH) a indiqué dimanche que le recours aux enfants et les agressions verbales ont constitué de nouvelles irrégularités constatées lors de la campagne électorale.
Le 08/09/2015 à 10h30
