L’ancienne ministre de l’environnement Hakima El Hatié tweettait, dimanche 1er octobre, son inquiétude pour la démocratie espagnole suite aux violences policières ayant marqué le référendum d'autodétermination interdit en Catalogne.
"Non à la violence. La démocratie est en danger", avait commenté Hakima El Haité dans un tweet supprimé depuis, après avoir suscité une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux.
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Dans un courriel envoyé à le360, l'ancienne ministre de l'environnement s'explique: "En tant que présidente déléguée de l’International liberal, je voudrai lever toute incompréhension relative à ma position concernant les événements qui se passent en Catalogne. Je suis pour la défense et le respect des lois et des Etats de droit et ne peux m’inscrire à toute opération allant à l’encontre des lois et de plus constitutionnelles."
Hakima El Haité précise néanmoins qu'elle s'oppose à la gestion des conflits dans la violence: "Dans le cadre des mes activités au sein du l'International libéral, j’ai appelé nos collègues catalans à respecter la constitution et à privilégier le dialogue", nous indique t-elle. Et de souligner: "privilégier le dialogue et trouver des solutions politiques pacifiques sont ma devise. Je ne suis pas pour la gestion des conflits dans la violence, car la violence met en danger la démocratie qui doit être basée sur le dialogue, l’écoute et le consensus."
