Dans un poste publié sur sa page Facebook, Afailal dit être en total désaccord avec ceux ayant quitté l’USFP (Union socialiste des forces populaires) pour former un nouveau parti politique. Et ce, considère-elle, pour de multiples raisons. «Le champ politique national a besoin d’un parti USFP fort jouant pleinement son rôle, comme il nous a toujours habitués. Surtout que la possibilité de sa réunification est toujours à l’ordre du jour, selon ma modeste opinion», écrit-elle.
Par ailleurs, la dirigeante PPS estime que «toutes les expériences issues des dissidences ont été vouées à l’échec». Et d’ajouter qu’un nouveau parti de gauche «risque d’affaiblir les forces de la gauche et de les disperser, faisant évaporer un rêve que nous caressons depuis de longues années, à savoir la formation d’un cadre de la gauche constituant une alternative».
A rappeler que Abdelali Doumou, l’un des dirigeants du courant «Ouverture et Démocratie», dissident de l’USFP, a annoncé ce samedi à Bouznika la création dans les trois prochains mois d’un nouveau parti politique.
