Ce déchaînement contre cette plateforme favorisant la coopération Sud-Sud "n'est nullement productif et va à contre courant des attentes" d'un continent qui aspire au développement durable et à l'amélioration des conditions de vie des africains, a souligné M. Atilla Donat, un économiste et président d'un groupe minier turc, dans une déclaration à la MAP.
Le Maroc est pleinement dans son droit d'organiser cette rencontre à Dakhla, une ville fortement attachée à sa marocanité, l'accueil populaire chaleureux réservé à SM le Roi Mohammed VI lors de sa récente visite en est la preuve éclatante, a-t-il expliqué.
Ce rendez-vous, un édifice supplémentaire, conforte le rôle pionnier du Maroc, leader de la coopération Sud-Sud, et son ouverture sur son environnement pour permettre aux décideurs africains d'engager avec leurs pairs de pays développés, le dialogue constructif sur divers sujets afin de mieux appréhender les défis du progrès local et régional ainsi que de scruter les opportunités de coopération et d'intégration inter régionales et multilatérales, a-t-il dit.Il constitue aussi, poursuit-il, l'un des espaces rares réunissant, sous le même toit, des ministres, des parlementaires, d'anciens chefs d'Etat et de gouvernement, de dirigeants d'institutions régionales et internationales mais également du monde des affaires pour des discussions de qualité.