A l'ouverture des travaux, l'incertitude planait toujours sur la personnalité qui dirigerait cette formation politique prônant une "démocratie sociale ouverte".
Le suspense demeure entier du fait que Mustapha Bakkoury ne s'est pas encore prononcé sur sa décision de se présenter ou non à sa propre succession. Mais la tendance générale privilégie l'élection d'Ilyas El Omary, l'actuel numéro 2 dont la candidature semble de poids.
Plusieurs représentants de partis politiques nationaux et étrangers ont assisté à l'ouverture du congrès du PAM.
Le PJD, qui n'est pas en odeur de sainteté chez le parti du Tracteur, a dépêché Lahcen Daoudi, le MP Mohand Lanser, l'Istiqlal son patron Hamid Chabat,,l'USFP Driss Lachgar, le PPS Nabil Benabdellah, l'UC Mohamed Sajid, le RNI Mohamed Boussaid, ministre de l'Economie et des finances, en plus de Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture, et Anis Birou, ministre des MRE.
Salaheddine Mezouar, président du RNI, a brillé par son absence.
Le futur patron du PAM sera connu demain dimanche au terme d'une réunion du Conseil national (sorte de Parlement du parti) du PAM renouvelé.