Joseph Breham est à la fois l'avocat de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), du séparatiste-égorgeur Naâma Asfari et de Zakaria Moumni. Le dénominateur commun entre les clients de Me Breham: il s'agit d'opposants à l'intégrité territoriale du royaume et de spécialistes de la calmonie contre le régime et ses institutions.
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Cette semaine, il est arrivé au Maroc pour défendre Naâma Asfari, l’un des 25 bouchers du camp de Gdeim Izik.
Il est aussi l’avocat de l’ACAT, ONG dirigée par Claude Mangin qui n’est autre que la femme du même Naâma Asfari.
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Auparavant, il a été l’avocat de Zakaria Moumni dans des procès opposant cet escroc notoire qui ne renonce pas à vouloir soutirer aux autorités marocaines la somme de 4.9 millions d'euros.
Mais Joseph Breham commence à agacer au sein de sa profession.
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A Rabat, devant la Cour d’appel, il a été à l’origine du retrait de deux avocats de la défense des 25 accusés. Abdelaziz Nouidi et Boujemaâ Achahboune ont informé la Cour qu’ils ne faisaient plus partie de la défense pour ne pas cautionner une ligne de défense résolument anti-marocaine. Dans sa plaidoirie aux relents colonialistes et dans un déni du respect dû aux magistrats, Me Breham a multiplié les actes d'irrévérence envers la Cour. Il s'est permis de braver les consignes et d'introduire son téléphone portable en pleine audience. Il s'est adressé à la Cour en français et il a tourné le dos aux magistrats. Il est allé même jusqu'à qualifier le Sahara marocain de "territoires occupés".
Compte tenu des accointances de cet avocat avec les séparatistes et les ennemis de l'intégrité territoriale du Maroc, on peut se demander quel est le lien de Zakaria Moumnia avec les clients de Me Breham.