La jeunesse ittihadie appelle à la résurgence du «mouvement du 20 février»

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Revue de presseKiosque 360. La jeunesse ittihadie a appelé ses militants à adhérer concrètement à toutes les formes de militantisme et aux mouvements de protestation contre les atteintes aux acquis du peuple marocain, ainsi qu’à participer massivement à la résurgence du "mouvement du 20 février".

Le 15/02/2016 à 21h40

La jeunesse ittihadie monte au créneau à la veille de la commémoration du cinquième anniversaire du «mouvement du 20 février».Dans un communiqué rendu public, samedi, à l’issue de la réunion des secrétaires des sections locales, au siège central de l’USFP, à Rabat, elle a ainsi lancé un appel à ses militantes et militants pour les encourager à «adhérer concrètement à toutes les formes de militantisme et aux mouvements de protestation contre les atteintes aux acquis du peuple marocain».

De même, elle a appelé à la participation effective à la résurgence du «mouvement du 20 février», rapporte le quotidien Al Ittihad Al Ichtiraki dans son édition de ce mardi 16 février. Et de préciser que le «mouvement du 20 février» avait réitéré «la revendication des valeurs» que «la jeunesse ittihadie a constamment soutenues et ce, en vue de leur concrétisation».Par ailleurs, poursuit le quotidien, la jeunesse ittihadie a exprimé sa solidarité avec les «enseignants stagiaires dans leur action militante contre la «hogra» et l’obstination du gouvernement marocain».

La situation politique générale dans le pays a également été abordée par la jeunesse de l’USFP qui souligne que «la réussite du modèle démocratique marocain est tributaire du respect des principes qui l'orientent. Avec, en premier lieu, la reconnaissance du fait que les jeunes sont au fondement de toute volonté réelle de réaliser le développement».

Enfin, la jeunesse ittihadie a demandé «la libération immédiate d'e l'un de ses membres, Youssef Beldi, poursuivi, selon le communiqué, «pour un présumé assassinat. Or, au cours de la dernière audience de son jugement, il s’est avéré qu’il n’avait rien à voir avec cette affaire».

Par Mohamed Younsi
Le 15/02/2016 à 21h40