Ceux qui ont encore un doute sur la haine féroce vouée au Maroc par l’actuel ministre algérien des Affaires étrangères n’ont qu’à bien se tenir. La fille de Ramtane Lamamra, Amel Nesrine, avait fait de l’apologie pro-«RASD» l’idée maîtresse de sa thèse de doctorat soutenue en 2013 à l’Université Cambridge, en Grande-Bretagne.
«Conflit prolongé en Afrique : construction sociale de souveraineté et guerre au Sahara occidental» est le titre choisi pour la thèse d'Amel Nisrine Lamamra.
Si la haine anti-marocaine du père Lamamra n’est pas à démontrer, pas plus aujourd’hui que du temps où il siégeait à la Commission de la paix et de la sécurité de l’Union africaine (UA), lors de son passage en tant que diplomate à Washington, ou aux Nations Unies, de quoi pourrait encore se mêler la fille au point de nous gratifier - et c’est inédit dans les annales académiques ! - d’un chef-d’œuvre d’approximations et de partis pris anti-marocains !
En s'étonnant que l'université de Cambridge, lieu de savoir par excellence, ait cautionné une thèse aussi fumeuse que partiale, il y a un fait dont on peut au moins être sûr : la haine nourrie par Alger à l’encontre du Maroc est structurelle et devient, dans le cas de Lamamra, congénitale.