L’ex-patron du contre-espionnage algérien, le général «Hassan», a été reconnu coupable d’au moins deux chefs d’accusaion, à savoir «non-respect des consignes militaires» et «destruction de documents militaires».
Le haut galonné, figure du contre-terrorisme algérien, a écopé de 5 ans de prison, dévoile le site d’information en continu, «Algérie1».
Les tracasseries de celui qui était considéré comme le numéro 2 du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), après Mohamed Lamine Mediène, «débarqué» dernièrement par le président Bouteflika, ont commencé en 2012 quand des individus armés arrêtés à un barrage de contrôle au sud du pays avaient avoué être armés par le général «Hassan».
Une accusation qui a été rejetée par la Défense qui a dénoncé un «procès politique», s’inscrivant dans le cadre d’un plan orchestré par le clan présidentiel pour se débarrasser des encombrants lieutenants de l’ex-patron du DRS et, de ce fait, «s’assurer» une succession sans encombre à l’actuel locataire du palais El Mouradia.