Cette convention de coopération, la première du genre, a été signée ce mardi 29 novembre 2022 à Rabat par la Directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay et le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mehdi Bensaïd.
Conclue en marge de la tenue, jusqu’au 3 décembre à Rabat, de la 17e session du Comité intergouvernemental de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, la convention engage les deux parties à apporter leur «expertise» au profit du continent africain à travers une série d’activités «de renforcement des capacités» dans le domaine de la préservation du patrimoine culturel immatériel.
Lire aussi : L'UNESCO le reconnaît: «L’appropriation du patrimoine immatériel d’autrui, une préoccupation majeure»
Il s’agit notamment de «la formation aux processus d’inscription au patrimoine mondial, de la mise à profit de bonnes pratiques de conservation en faveur du développement socio-économique et de la gestion et de la conservation de sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial».
Il faut rappeler que le Royaume du Maroc compte une riche expérience dans ce domaine, une raison amplement suffisante pour créer une Centre national dédié à la sauvegarde et à la protection du patrimoine culturel immatériel.