Le Parti populaire espagnol s’attaque aux ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc

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Revue de presseKiosque360. Le président de la Commission des affaires étrangères au Sénat espagnol, José Ignacio, est attendu au Maroc dès ce mardi. Il sera à la tête d’une importante délégation espagnole. Cette visite intervient suite au rejet d’une déclaration hostile à l'intégrité territoriale du royaume.

Le 18/04/2016 à 20h21

Après le rejet, grâce au Parti populaire (PP) espagnol, de la déclaration hostile à l’intégrité territoriale du Maroc par l’intergroupe du congrès des députés espagnols sur le Sahara, le président de la Commission des affaires étrangères au Sénat espagnol, José Ignacio, a entrepris de se rendre au Maroc où il est attendu, ce mardi, à la tête d’une importante délégation espagnole.

Cette visite du leader du PP espagnol s’inscrit dans le cadre des activités de la diplomatie parlementaire, a déclaré Mohamed Dâîdiâ, membre du groupe d’action progressiste à la Chambre des conseillers, au quotidien Assabah qui rapporte l’information dans son édition de ce mardi 19 avril.

Lors de son séjour au Maroc, le leader du Parti populaire espagnol rencontrera le Chef de gouvernement, le chef de la diplomatie marocaine, les présidents des deux Chambres du Parlement et des deux commissions des affaires étrangères, a précisé Mohamed Dâîdiâ, qui a initié cette visite.Et d’ajouter que les parlementaires marocains sont appelés à renforcer leurs relations avec leurs homologues espagnols, à approfondir le dialogue et à mettre en place les préparatifs pour l’organisation de la deuxième édition du Forum parlementaire Maroc-Espagne.De même, le conseiller Mohamed Dâîdiâ a rappelé le rôle joué par les représentants du Parti populaire espagnol pour contrer la décision hostile à l’intégrité territoriale du Maroc.

Par ailleurs, poursuit le quotidien, ce nouveau camouflet essuyé par les ennemis de l’intégrité territoriale du royaume s’ajoute à toute une série de déboires politiques et manœuvres à répétition de certaines instances européennes, sans compter la vague de retraits de reconnaissance de la prétendue «RASD», principalement en Amérique latine et dans le continent africain.

Par Mohamed Younsi
Le 18/04/2016 à 20h21