L’ancien avocat Mohamed Ziane a eu recours aux services de la chaine «Dounia» pour s’attaquer aux institutions de son pays et cibler des personnalités. Le quotidien Assabah rapporte, dans son édition du vendredi 19 août, que l’homme ne sait pas dans quel marécage il s‘est embourbé en faisant le jeu de la dénommée Dounia, qui s’est réfugiée en Chine et en France. Une femme qui a fait de sa chaine YouTube un fonds de commerce pour servir ses intérêts, notamment l’obtention d’un titre de séjour pour résider en France.
Quant à Ziane, il est mal en point car la sénilité peut conduire à la démence. Dans les sorties du couple Dounia/Ziane sur la chaine YouTube, le spectateur est pris de nausée et n’a pas besoin d’un quotient intellectuel élevé pour relever la vilenie contre la patrie. L’ancien avocat, qui ne cessait de répéter être royaliste, est devenu un ami de Mohamed Hajeb et de Zakaria Moumni qui débitent, depuis longtemps, un discours offensant non seulement contre l’institution royale mais contre tout ce qui est marocain.
Le quotidien Assabah souligne que comme la haine est très contagieuse, le discours de Ziane est devenu contradictoire, probablement à cause du vieillissement. Ce qui l’a poussé à dire que «le Maroc navigue sans pilote» en mimant la machine de propagande orchestrée par les ennemis de l’intégrité territoriale qui tentent d’affecter le moral des Marocains. Normal que les déclarations de Mohamed Ziane suscitent la désapprobation et la colère des internautes. Certains d’entre eux considèrent qu’il s’agit d’un «dérapage verbal qui révèle la vraie nature de sa personnalité» tandis que d’autres voient dans son discours «la preuve d’un caractère vil et méprisable».
Il faut convenir que l’homme traverse une mauvaise passe: il fait l’objet de 17 plaintes devant la justice pour adultère, harcèlement sexuel et crimes financiers. D’ailleurs, il ne manque pas d’évoquer l’officière de police révoquée, Wahiba Kharchich, bien qu’elle ait gelé sa chaine YouTube et se soit retirée des réseaux sociaux. L’homme a fait d’elle son fonds de commerce pour s’attaquer à l’institution sécuritaire marocaine à laquelle cette femme appartenait avant de quitter le Maroc et d’en être radiée.