Kerry Kennedy, qui "prétend être une grande militante des Droits de l’Homme, est un monstre qui est en train de ruiner l’héritage de son père", Robert F. Kennedy, écrit le New York Post dans un article publié le 1er août et signé Maureen Callahan.
"Pour quelqu’un qui est avocat des Droits de l’Homme, je ne pense pas que j’ai rencontré une personne qui n’a que peu d’égard envers les gens qui travaillent pour elle", indique le quotidien, citant un employé qui a dû démissionner du Centre Robert F. Kennedy pour la Justice et les Droits de l’Homme que préside Kerry.
«Parfois, elle affecte du personnel à des tâches privées au moment où ses collaborateurs doivent en principe répondre à des cris de détresse provenant des quatre coins du monde», poursuit un autre ex-cadre du centre.
Et pratiquement tous, d’excellents collaborateurs, finissent par claquer la porte.
Au moins neuf employés ont quitté le Centre à cause du comportement de plus en plus "erratique" de sa présidente, relevant que les priorités de Kerry Kennedy changent selon son humeur et son caprice.
Ce comportement de la septième des enfants de JFK, qualifié de «fou» par la publication, a commencé à prendre des dimensions disproportionnées à partir de 2015.
En outre, le New York Post fait observer que Kerry Kennedy, chapeaute le Centre Robert F. Kennedy pour la Justice et les Droits de l’Homme, une organisation à but non-lucratif qui se fixe l’objectif "vague" de sensibiliser aux défis des Droits de l’Homme les plus importants et qui sont souvent négligés, ajoutant que Kennedy se présente comme le porte-étendard et la championne des citoyens du monde qui font l’objet d’abus et de violences.
"Il s’agit de l’organisation la plus dysfonctionnelle et décourageante", déplore un ex-employé, ajoutant que le Centre ne se soucie guère de la dignité de son staff.
A but non lucratif, le centre est beaucoup plus que lucratif pour Kerry Kennedy.
En effet,le New York Post écrit que Kerry Kennedy utilise les fonds du Centre pour couvrir ses dépenses extravagantes et ses tournées avec des célébrités à travers le monde.
Exemple des dépenses extravagantes de la présidente, 56 ans au compteur, un voyage de trois jours à Paris et des hôtels à 500 dollars la nuitée pour visionner un film avec l’acteur Javier Bardem. Celui-là même que le Polisario érige en défenseur de ses «causes».