"Pour répondre à cet acte criminel, j'invite les députés à scander l'hymne national", a lancé, le ton ferme, le président de la Chambre des représentants Habib El Malki (USFP) en présence du chef de gouvernement Saâd Eddine El Othmani et de plusieurs ministres. Cela a coïncidé avec la séance mensuelle consacrée aux questions orales portant sur la politique générale de l'Exécutif.
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Comme un seul homme et à voix haute, l’assistance s’est mise debout pour chanter l'hymne national, le symbole du Royaume du Maroc.
Un groupuscule de séparatistes rifains a piétiné et brûlé, samedi 26 octobre à Paris, le drapeau national.
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C’est une femme répondant au nom de Halima Zine qui a été l'origine de cet acte criminel qui a suscité une vague d’indignation parmi les Marocains, jugeant que ce genre d’actes était et restera une ligne rouge à ne pas franchir.