Le quotidien Al Massae, qui relaie cette information dans son édition de ce week-end des 17-18 octobre, avance que ce projet apporterait deux nouveautés saillantes : l’examen strict des années d’ancienneté pour l’avancement dans les grades et la révision à la baisse du quota réservé à la promotion au grade de général.
D’ailleurs, à ce propos des sources bien informées citées par le quotidien expliquent que cette révision concernerait surtout la promotion, pour les officiers supérieurs, au grade de général de brigade.
Ce projet de statut, d’après "Al Massae", inclurait une revue à la baisse du nombre des années de service, au profit d’une meilleure couverture sociale pour les gendarmes.
Toujours selon "Al Massae", les conditions et modalités de l’avancement dans les rangs de la Gendarmerie royale, contenues dans ce projet, seraient similaires aux conditions imposées par l’état-major. Elles se basent sur la compétence, le rendement, l’ancienneté, ou encore les diplômes acquis durant les stages de formation ou de passage de grades dans les écoles relevant de la Gendarmerie.
Bien évidemment, ces critères restent tributaires des fiches de bonne conduite, établies au niveau de chaque commandement régional de la Gendarmerie royale.
