Le cliché nous change de l’image d’Epinal que Moulay Hicham a tenté sans succès de cultiver via les différentes agoras internationales: campus, plateaux de télévision, réseaux sociaux… Ironie du sort, l’antipode de cette pseudo-image d’Epinal nous vient d'un ex-capitaine de sinistre renommée: Mustapha Adib.
«La photo d’aujourd’hui a été prise avec le prince Moulay Hicham à l’occasion d’un colloque organisé à l’Université Georgetown à Washington, sous le thème du despotisme post-printemps arabe en Afrique du Nord: le printemps démocratique», écrit Mustapha Adib, qui s’est dernièrement installé aux Etats-Unis, après un long et infructueux séjour parisien, où il a fait de l’«anti-monarchisme» son fonds de commerce, usant d’un lexique des plus nauséeux à l’encontre des symboles de l’Etat marocain, y compris le Roi Mohammed VI.
Le capitaine-looser arbore ainsi (tel un trophée!), son cliché avec le prince Moulay Hicham, alors même qu’il a passé le plus clair de son temps à user des termes les plus vulgaires à l’encontre de la famille de ce même prince. Décidément, une bien curieuse façon de la part d’un Hicham Alaoui que de poser, arborant un grand sourire complice, avec cet homme qui a usé des pires vulgarités et obscénités contre sa propre famille.
Qui se ressemble s’assemble! Moulay Hicham vient de démontrer, de lui-même, et par ses fréquentations, le degré zéro de son intelligence. Un niveau composé de haine, de désir de revanche et de convoitise, à mille lieues de tout travail intellectuel et résolument tourné vers une quelconque partie de nature à le conforter dans ses thèses irréalisables, quand bien même cette partie serait de l’ordre de la fange et de l’abject. C’est pitoyable!
Comment un prince, quand bien même il aurait renié son titre, peut-il prendre un café avec un homme qui fait usage d’un jargon composé de turpitudes et d’obscénités à l’égard de sa famille? Cette attitude relève certainement d’un trouble psychique qu’il convient de prendre en charge.
Curieux! Alors que tout le monde arabe, du Golfe à l’Océan, a pris conscience du désastre engendré par ce «printemps arabe», qui fut tout, sauf vert, tant de sang ayant coulé et de drames inutiles ayant été causés depuis cette triste année 2011, le prince, quant à lui, n’est toujours pas près de revenir à la raison, et continue sur sa lancée nihiliste et incroyablement haineuse envers son pays. Et comme, dans cette entreprise chargée de haines et de rancoeurs, il ne trouve plus de soutiens, il se tourne alors aujourd'hui vers le pire, vers le très bas. Triste.
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