Les révélations stupéfiantes sur les «rencontres hard» du "représentant du polisario à Paris", dévoilées au grand jour en fin de semaine dernière, sont parvenues jusqu’aux rivages de l’East River, à New York, où se trouve le siège des Nations unies. C’est en tout cas ce qui ressort de cette sentence fraîchement prise par le Haut commissariat aux réfugiés (HCR), qui a décidé de fermer les vannes de ses aides à «l’association des amis de la «rasd», AARASD», basée en France.
Selon nos informations, cette officine présidée par une certaine Régine Villemont «n’a pas été sélectionnée par l’UNHCR pour exécuter les projets proposés» par cette dernière et ce, dans le cadre des fonds alloués par le HCR aux camps des réfugiés sahraouis à Tindouf au titre de l’année 2020.
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Le HCR, à travers cette décision, vient en effet de découvrir que les fonds alloués à cette officine créée en 1975 étaient détournés à une fin autre que le soutien humanitaire à une population retenue contre son gré depuis maintenant près d’un demi-siècle dans le goulag de Lahmada.
Le «représentant du polisario à Paris», Bachir Oubi Bouchraya, a démontré, par ses toutes récentes frasques sexuelles dans la ville des Lumières, qu’il était mandaté pour un «militantisme» d’un tout autre genre, comme en témoignent ses «aventures hot» avec la jeune présidente de «la Ligue des jeunes sahraouis", Aziza Hameida, dont le joli minois semble avoir fait craquer le jeune «diplomate noceur» au point d’abandonner, outre son "poste", son épouse et ses enfants à Bilbao, en Espagne, où ils vivent sur les modiques aides sociales du voisin du Nord!
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Les révélations, ébruitées par «Maghreb Leaks», ont provoqué une violente onde de choc parmi les «réfugiés» sahraouis à Tindouf, autant que parmi «la diaspora sahraouie en France», du côté notamment de la banlieue de Mantes-la-Jolie, qui n’ont peut-être jamais imaginé que leur «représentant» pouvaient à ce point trahir leur «cause» pour chercher à tout prix à assouvir ses pulsions bestiales.