«Ne craignez-vous pas d’être inquiété par les autorités marocaines après votre séjour dans les camps de Tindouf?». «Si j’avais peur, je ne serais jamais venu ici». C’est ce qu’a affirmé ce pseudo «poète sahraoui», dénommé Hamza Lakhal, au site algérien d’information en continu, «Impact24», trois semaines après un séjour dans les camps de Lahmada Tindouf.
«Les forces coloniales sont capables de tout», a-t-il aboyé, avant d’embrayer sur cette note délibérément provocatrice : «Mais je ne suis pas inquiet pour autant». Un «défi» lancé au pays qui lui a donné le jour, et où il a été élevé et peut s’exprimer en toute liberté.
Seulement voilà, liberté ne rime pas avec trahison. On ne mord pas impunément la main qui nous tend à manger. Ce Hamza l’a toutefois fait, comme d’ailleurs plusieurs dizaines de traîtres de son acabit qui veulent bien garder un pied au Maroc et poser le second à Tindouf où ils se rendent fréquemment sans «être inquietés» le moins du monde !
Pire encore, ils n’hésitent pas à afficher ouvertement leur haine vis-à-vis du pays où ils bénéficient de tous les droits garantis constitutionnellement à tous les concitoyens.
Le cas de ce dénommé «Hamza», comme celui d’Aminatou Haïda et compagnie, doit tomber sous le coup de la loi qui s’applique à tous les Marocains, de Tanger à Lagouira. Ou on est Marocain ou on ne l’est pas. Et si ce dénommé Hamza prétend ne pas l’être, il doit en subir les conséquences. Aller à Tindouf vivre d’eau et de paroles vertes.
Mais se permettre d’attaquer son pays, qui plus est sur les colonnes de médias algériens délibérément hostiles au Maroc, cela relève de la « trahison à la Nation ». Qui, à l’évidence, est répressible par la loi. Notre loi souveraine.