Le scandale de moeurs au coeur duquel se trouve actuellement le «représentant du polisario à Paris», Bachir Oubi Bouchraya, n’est certainement pas un cas isolé. Bien des scandales avaient éclaboussé la hiérarchie pyramidale du front polisario, à sa tête Brahim Ghali himself, comptable d’un viol monstrueux commis en 2010, du temps où il était mandaté en tant que «représentant du polisario à Alger», sur la «réfugiée» sahraouie Khadijatou Mahmoud, auteure d’une plainte pour viol déposée auprès de la justice espagnole à l’encontre du «très honorable président de la "rasd"».
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Il n’est ainsi pas étonnant que Bachir Oubi Bouchraya, nommé par Brahim Ghali en tant que «représentant du polisario à Paris", prenne exemple sur son maître terré chez sa marraine algérienne, à Rabouni, en s’autorisant des «parties de jambes en l’air» à la ville des Lumières, avec sa nouvelle maîtresse, la très pulpeuse Aziza Hameida, quoique cette dernière, «présidente de la ligue des jeunes sahraouis», ait déjà été fiancée à ce «cocu» dénommé Mahjoub Mliha, celui-là activiste du FP à Bruxelles, qui a lui aussi délaissé sa femme en Belgique au profit de l’irrésistible Aziza Hameida.
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L’épouse de Bachir Oubi Bouchraya, autant que ses enfants, peuvent crever tranquillement à Bilbao, où ils vivent sur les modiques aides sociales octroyées par l’État espagnol, l’attrait de la nouvelle «élue du corps!» s’avère être fatal.
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Décryptons: le très inexpérimenté Bachir Oubi Bouchraya a fait preuve d’une flagrante naïveté, quand il a pris le risque de prendre une maîtresse parmi la «diaspora sahraouie en France», en l’occurrence la jeune Aziza Hameida, a expliqué il y a quelques jours la politologue colombienne, Clara Riveros, spécialiste du conflit du Sahara.
D’autres délégués du FP à l’étranger, ceux-là plutôt avertis, ont une nette préférence pour les blondes: ce choix leur permet à la fois d’assouvir leurs désirs sexuels et rallier leurs maîtresses autour de leur «cause».
Du côté de Tindouf, bien des scandales sexuels encore plus graves étaient commis par les ogres de la centrale séparatiste, voire de haut responsables algériens, sans éveiller le moindre soupçon tellement leurs auteurs cultivent le secret sur leurs aventures charnelles. Il n’en demeure pas moins que les réseaux sociaux ont joué le rôle de catalyseur pour dévoiler leurs frasques. On pense particulièrement aux aventures sexuelles, révélées en 2018, entre l'ex-wali de la wilaya algérienne de Tindouf, le dénommé Moumen Mermouri, et la «poétesse sahraouie» Nana El Rachid, accusée aussi de jouer les proxénètes au profit de son «excellence monsieur le wali de Tindouf», au détriment de nombreuses jeunes «réfugiées sahraouies» réduites à l’état d’esclaves sexuelles.
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L'on vous fait grâce des "réfugiées sahraouies" reconverties en "joujoux" sexuels pour le compte de sites prono espagnols, dont la plus célèbre est la dénommée "Leïla Bent Pakito", ancien proche collaborateur de Bachir Oubi Bouchraya, devenue star du site prono espagnol "Pornoteria".
Engoncé jusqu'au cou dans des scandales sexuels, le front polisario utilise toutefois la (même) "arme" contre ses opposants, poussant le cynisme jusqu'à dévoiler des photos intimes de leurs épouses. Le cas d'Olaya Saâdi, épouse du détenu politique Fadel Breïka (qui vient d'être relâché sur instructions algériennes), apporte ici une preuve irréfragable. Pour réduire son conjoint au silence, le "front du Mal" n'a pas trouvé autre moyen que le recours, en véritable maître-chanteur, aux photos de l'épouse piratées sur son téléphone portable pour les diffuser sur le site séparatiste à scandales nommé "sawtalwatan.com"!
Minable!