Les membres de cette cellule terroriste dormante communiquaient avec des éléments à l’intérieur et à l’extérieur du pays, sur la base d’une stratégie étudiée, pour la contrebande d'armes qui provenaient de la Libye et transitaient à travers le territoire algérien avant d'arriver au Maroc.
L’enquête du BCIJ se poursuit à l’encontre de trois présumés coupables de nationalité algérienne. Ils sont suspectés d'entretenir des liens avec une personne interpellée dernièrement à Tanger par les éléments du BCIJ et de la DST et soupçonnée d'appartenir à l’organisation terroriste Daech.
Les personnes recherchées, de nationalité algérienne, se sont associées à des Marocains pour commettre des actes terroristes dans les lieux touristiques, des établissements hôteliers, des casernes militaires et des établissements diplomatiques, dans différentes villes du pays.
Les membres de cette cellule comptaient réitérer les actes commis durant les attentats du 16 mai 2003.