La salle a peu applaudi Hamid Chabat surtout lorsque celui-ci a scandé, tout seul et à trois reprises, Allah Akbar. "L'Istiqlal veut que les partis politiques soient maîtres de leurs décisions. Il faut mettre fin aux mesures télécommandées. Il faut consolider la démocratie interne au sein des parties", tels ont été les principaux axes de son discours en plus d'une partie réservée aux provinces sahariennes et à la "libération de Sebta, Melilla et les îles avoisinantes", a-t-il dit.
Après l'ouverture, qui s'est déroulée sans heurts, le clan de Nizar Barak s'est senti soulagé. Les travaux du congrès se sont poursuivis vendredi soir à huis clos pour adopter les rapports moral et financier.
Samedi après-midi, une seconde phase sera conscrée à l'élection du nouveau secrétaire général et des nouveaux membres du Comité exécutif.