Dans une interview accordée à le360, Mustapha Shimi n'a pas exclu que "d'autres paramètres" aient pu intervenir dans cette démission, imputée officiellement à "des raisons de santé".
"En tous les cas, a-t-il tenu à préciser, son successeur poursuivra la mission de l'ONU sur la base de ses résolutions qui appellent à une "solution politique réaliste, pragmatique et durable."
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Le chercheur a noté que Horst Köhler avait un plan axé sur les deux tables rondes qui n'ont pas pu avancer sur le fond, mais qui ont eu le mérite de deux atouts significatifs, sachant qu'il ne s'agissait pas de négociations et que l'Algérie est considérée comme partie prenante, la résolution 2468 ayant cité ce pays cinq fois.
Selon le politologue, la démission de Köhler signifie qu'il n'y aura pas de rapport au Conseil de Sécurité (de Guterres) en juillet et qu'il n'y aura pas de troisième table ronde début juillet. Les détails.