Ce qui n'était au début que de simples revendications sociales, des parties étrangères les ont exploitées et vite transformées en requêtes politiques. C’est ce qui a conduit à la terrible boucherie du 8 novembre 2010.
Mercredi 15 mars, au troisième jour du procès, l’accusé Larbi Bekkay, membre de ladite "Coordination du dialogue du camp Gdeim Izik" a apporté un témoignage fondamental selon lequel les évènements de Gdeim Izik avaient initialement un caractère purement social.
Selon l'avocat de la défense des victimes, Abdelkebir Tabih, les revendications politiques ont été dictées ensuite par des parties étrangères, hostiles à l'intégrité territoriale.