"Nous réclamons du gouvernement la construction d'une stèle à Laâyoune pour perpétuer le souvenir nos chouhada (martyrs, Ndlr) assassinés sauvagement par des mercenaires à la solde d'Alger", a affirmé, dans une déclaration pour Le360, Ahmed Atertour, président de l'Association de coordination des familles et amis des victimes de Gdim Izik.
Le 8 novembre 2010, voici dix ans, des séparatistes à la solde d'Alger avaient assassiné, dans un acte de barbarie dénoncé avec virulence, onze des membres des forces de l'ordre, lors du démantèlement du camp de Gdim Izik, un regroupement de tentes qui avaient illégalement été dressées près de Laâyoune.
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La chambre criminelle près de la Cour d'appel de Salé avait confirmé la culpabilité des accusés, en les condamnant le 19 juillet 2017 à des peines allant de deux ans de prison ferme à la perpétuité.
L'association réclame également qu'une "journée nationale de souvenir en hommage aux victimes" soit organisée dans l'ensemble des établissements scolaires du Royaume.
