Jamal Chichaoui, membre du bureau politique du PAM, estime que les divergences de vues sont naturellement un signe de bonne santé pour un parti mais qu'il faut éviter qu'elles ne dégénèrent en divisions dévastatrices. "C'est ce que vit actuellement le parti", déplore cet architecte et ancien militant de gauche.
Dans sa ligne de mire, Fatima Ezzohra El Mansouri, présidente du Conseil national, et Abdellatif Ouahbi, un membre influent du bureau politique. "Ouahbi n'a pas le droit de convoquer un congrès extraordinaire et la dissolution du parti", a asséné Jamal Chichaoui.
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Quant à Fatima Ezzohra El Mansouri, il pense que cette dernière n'a pas le droit non plus de "geler le Conseil national". Entretien.
