Les syndicats lient la réussite de cette première manche du dialogue social à l'acceptation par l'Exécutif d'une hausse mensuelle des salaires de 500 dirhams pour les fonctionnaires et à l'augmentation du SMIG à 3.000 dirhams par mois (au lieu de 2. 570 dirhams actuellement).
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Le360 a interrogé à ce sujet Khadija Zoumi, membre dirigeante de l'Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), syndicat affilié à l'Istiqlal. Elle a reconnu qu'il ne sera pas facile à l'Etat de trouver les fonds liés à ces hausses de salaires. "En associant les partenaires économiques, l'Etat pourra trouver une solution", a-t-elle toutefois estimé.