Les expéditions des missions étrangères à Tindouf relèvent désormais de l’aventurisme. Après la toute récente mésaventure de la caravane humanitaire espagnole, bloquée le 17 octobre dernier au port d’Oran, au prétexte que ses initiateurs, dont le directeur de Podemos (parti d’extrême-gauche et néanmoins "ami" du Polisario) à Madrid, au prétexte qu’elle n’avait pas demandé «une dérogation spéciale» au MAE algérien, Abdelkader Messahel, une nouvelle délégation est «piégée» cette fois au camp Rabouni pour une raison à tout le moins inattendue.
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«En visite aux camps de Tindouf, pour le lancement d’une campagne destinée à réduire la mortalité maternelle, une délégation africaine se trouve bloquée à Rabouni suite au vol de leurs documents de voyage et d’autres biens dont des sommes d’argent», apprend le360 auprès de sources concordantes.
Les membres de ladite délégation qui ont été reçus hier samedi 10 novembre, n’ont toujours pas quitté le camp de Rabouni où ils ont été dépouillés de leurs documents et biens personnels. «Ils doivent attendre que leur soient délivrés des laissez-passer ou de nouveaux passeports de leurs légations à Alger pour quitter», indiquent nos sources.
A défaut, les autorités algériennes qui détiennent les clefs de Tindouf continueront de verrouiller les issues de sortie. Au secours...
