Peu après avoir annoncé la nouvelle de sa séparation avec son mari, Brahim Rachiki, chorégraphe, directeur artistique et comédien de profession, la célèbre danseuse a été hospitalisée.
Cette fois-ci, celle qui donnait des conseils aux femmes pour qu'elles manipulent leur conjoint afin de les dominer, vient d’être admise, il y a un peu plus de 10 heures, dans un établissement privé de santé.
Hier, mardi 21 juin 2022, sur son compte Instagram, l’influenceuse a déclaré souffrir de problèmes de tension. «Hier, j’ai eu des pics de tension, c’est-à-dire que ma tension n’a pas cessé de baisser et de monter. Les ambulances sont mêmes venues pour me transporter vers l’hôpital, mais il fallait que je m’assure de quelques détails concernant mon assurance, si elle est internationale ou pas», a-t-elle déclaré à ses 958.000 followers.
Un autre post sur sa story, diffusé cette fois-ci par son manager un peu plus tard dans la journée, a indiqué son admission à l’hôpital Northbridge, aux Etats-Unis. «Maya est en ce moment à Northbridge Hospital suite à une urgence sanitaire. Elle vous remercie pour vos messages et s’excuse de ne pas pouvoir vous répondre en ce moment. Elle a besoin de repos et reviendra dans quelques jours», est-il écrit.
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Pour rappel, la danseuse marocaine Maya Dbaich avait surpris ses followers, en annonçant, la semaine dernière sur Instagram, sa séparation avec son mari, Brahim Rachiki. Ce divorce marque ainsi la fin d’une relation conjugale entamée à peine six mois plus tôt.
Via son compte Instagram, la danseuse a avoué avoir vécu une longue crise durant ces derniers temps, après avoir trouvé que son conjoint l’exploitait et vivait à ses dépens.
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De plus, selon elle, il aurait enregistré ses conversations quand elle était chez elle.
De même, l’influenceuse marocaine a révélé que la cause principale de ses différends avec son époux résidait dans le fait que celui-ci refusait de compter sur lui-même en travaillant et d’assumer ses responsabilités de leur vie, malgré l’assistance de sa femme et sa contribution à subvenir à la moitié des dépenses que nécessitait leur vie en commun.