«Si la pêche pouvait guérir, elle aurait pu commencer par elle-même», dit le dicton marocain. Celui-ci résume à lui seul l’affaire de la danseuse Maya qui a secoué ces derniers jours les réseaux sociaux. «C’est la première leçon à retenir», peut-on lire dans le quotidien Assabah, qui consacre un article au divorce de l'influenceuse dans sa livraison du 22 juin.
Pour rappel, la danseuse marocaine Maya Dbaich avait surpris ses followers, en annonçant, la semaine dernière sur Instagram, sa séparation avec son mari, Brahim Rachiki, chorégraphe, directeur artistique et comédien. Ce divorce marque ainsi la fin d’une relation conjugale entamée à peine six mois plus tôt.
Dans une vidéo, la danseuse révèle ainsi qu’elle a traversé une longue crise avant qu’elle n’accepte d’en parler ouvertement à ses 958 000 followers sur Instagram. Selon Assabah, «elle avait découvert que son conjoint l’exploitait et vivait à ses dépens ». Pire encore, «il enregistrait ses conversations quand elle se trouvait chez elle», toujours selon l’influenceuse.
Cette situation prouve, selon le quotidien Assabah, que les conseils des stars sur les réseaux sociaux sont une grande arnaque. Car celle, qui a construit sa notoriété sur la base de l’incitation à la haine contre les hommes et des recettes efficaces permettant aux femmes de mettre leurs conjoints à leurs pieds, est désormais en quête d’une recette pour elle-même.