Selon les informations préliminaires de l'enquête, les mis en cause ont réussi, vendredi, à s'introduire par effraction dans le domicile de la victime, avant de s'emparer de certains biens personnels et de procéder à des inscriptions faisant l'apologie du groupe terroriste dit "Etat islamique" sur les murs de cette maison, indique, dimanche, un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Les investigations ont démontré qu'il s'agit d'un réseau criminel s'adonnant au vol, dont les membres sont des toxicomanes, ajoute la même source.
La DGSN précise que les inscriptions à caractère extrémiste sur la scène du crime étaient dans l'objectif de dévier le cours de l'enquête.
Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour complément de l'enquête menée sous la supervision du Parquet général compétent, souligne-t-on.