DGSN: nouvelles nominations à des postes de responsabilité dans plusieurs villes

Abdellatif Hammouchi, directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire.

La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) vient d’annoncer une série de nouvelles nominations à des postes de responsabilité dans les services de sécurité publique de plusieurs villes du Royaume.

Le 03/01/2025 à 12h33

La DGSN a dévoilé, le jeudi 2 janvier, la liste de nouvelles nominations à des postes de responsabilités dans les services de sécurité publique dans les villes de Rabat, Essaouira, Marrakech, Oujda, Laâyoune, Tanger, Guercif et El Aïoun. Ces nouvelles nominations entrent dans le cadre d’une dynamique interne visant à infuser du sang neuf et à faire appel aux jeunes compétences sécuritaires expérimentées et capables de contribuer efficacement à assurer la sûreté et la sécurité des citoyens et de leurs biens.

Approuvées par Abdellatif Hammouchi, directeur général de la Sûreté nationale, ces nominations comprennent précisément neuf postes de responsabilité: des postes de commissaire de police dans la ville d’El Aïoun, et deux postes de chefs d’arrondissement de police à Guercif et à Tanger.

Ces décisions visent également le placement de cadres sécuritaires à la tête d’autres services déconcentrés de sécurité publique, avec notamment la nomination de trois chefs de services des accidents de la circulation à Rabat, Marrakech et Essaouira, d’un chef de l’équipe d’enquête criminelle à Oujda et d’un chef par intérim du corps urbain à Laâyoune, en plus de la nomination du chef d’une brigade affiliée au groupe de renseignements généraux à Oujda.

Lors de la nomination à ces postes, le soin a été pris de choisir des compétences issues de la nouvelle génération de cadres sécuritaires, qui possèdent un sens du professionnalisme, une intégrité et une expérience dûment prouvées et élevées, afin qu’ils puissent mettre en œuvre de manière optimale la nouvelle stratégie de sécurité qui vise à servir le citoyen, en renforçant le sentiment de sécurité, en améliorant les services de police et en consolidant l’approche de communication et d’ouverture des services de sécurité.

Par Majda Benthami
Le 03/01/2025 à 12h33