Au quartier Maârif à Casablanca, les habitants n’ont pas attendu longtemps pour livrer leur mouton égorgé aux bouchers.
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Nombre de bouchers étaient et sont toujours en ce début de soirée à pied d’œuvre pour découper les moutons.
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«C’est une activité que j’exerce depuis maintenant 20 ans. J’ai des clients et je ne peux pas leur faire faux bond. Avant, c’est vrai, l’on faisait ce travail le lendemain tôt le matin, mais aujourd’hui, les gens n’ont plus le temps», a déclaré à le360 Said, un boucher au quartier Maârif.
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Le prix du découpage du mouton varie entre 70 et 100 dirhams.
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«Pourquoi attendre pour découper le mouton ? Je préfère que ce soit le plutôt possible. Comme ça, je peux vaquer à d’autres occupations et surtout soulager ma famille d’une corvée qui, dans le temps, se faisait avec plaisir par nos mamans», nous révèle Khalid, un habitant du quartier.
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