Le bras de fer qui oppose les grands taxis de Casablanca à Uber continue, le service de transport avec chauffeur ayant été également jugé illégal par les autorités.
A l’appel de leur syndicat (la Fédération nationale des professionnels du transport, affiliée à l’UMT), des dizaines de chauffeurs ont entamé une manifestation, avenue des FAR, a constaté un journaliste de Le360.
Les autorités, qui n'avaient pas autorisé cette manifestation, ont demandé aux forces de l’ordre de la disperser. Chose qui fut faite sans dégâts, le sens de la responsabilité ayant pris le dessus.
Simple coïncidence, les taximen du Kenya protestent à leur tour, aujourd'hui, contre la présence d'Uber dans leur pays.