Selon des sources humanitaires, la victime, qui souffre de rhumatisme et d’épilepsie, subissait des violences sexuelles de la part de son grand-père, lorsqu'elle se trouvait seule à la maison. Le grand-père croyait que sa petite-fille oublierait les viols dont elle faisait l’objet pendant ses crises d’épilepsie. Il profitait également de son rhumatisme, qui l’empêchait de se défendre, pour abuser d'elle, rapporte le quotidien Assabah dans son édition de ce lundi 25 janvier.
D’après le journal, la victime souffre, en plus, de troubles psychique et suivait un traitement auprès d’un médecin spécialiste. Or, elle a quitté le foyer familial, vers une destination inconnue, lorsque sa famille a refusé de livrer à la police un enregistrement vidéo prouvant que son grand-père l'avait violée. La victime affronte ainsi probablement, aujourd’hui, la vie dure de la rue, loin de sa famille et malgré sa maladie physique et mentale.
Selon Akhbar Al Yaoum, des sources proches de la famille affirment que les parents de la victime l’avaient jetée dehors après la découverte de la relation incestueuse entre le grand-père et sa petite-fille. Cet abandon a d'ailleurs créé des tensions entre les oncles de la victime et les autres membres de sa famille.
