Les peines alternatives à la place des peines de prison. C’est la principale recommandation formulée au terme d’un congrès organisé par le ministère de la Justice et des libertés, l’administration pénitentiaire du Danemark et l’ambassade du royaume danois au Maroc.
Les participants à ce congrès provincial consacré aux peines alternatives, qui a duré trois jours, ont insisté sur la nécessité de renforcer les programmes du développement des compétences et d’échanges d’expériences sur les plans national, provincial et international.
Les recommandations formulées au terme de cette rencontre ont concerné également la mise en place de règles strictes afin de suivre l’évolution de chaque détenu et de s’assurer ainsi de l’efficacité des condamnations. C’est ce que rapporte le quotidien Al Ahdath Al Maghribia, dans son édition de ce week-end des 18 et 19 mars.
D’après le journal, il est primordial, par ailleurs, de conduire des recherches sociétales afin d’opter pour les meilleures solutions alternatives à l’emprisonnement.
Al Ahdath Al Maghribia rapporte également que les participants à cet évènement ont souligné la nécessité d’établir une base de données partagée entre l’ensemble des intervenants concernant le suivi des condamnés pour une meilleure réinsertion.
Les participants à ce congrès ont également appelé à encourager les communes à améliorer les spécialités relatives à la promotion sociale afin de faciliter la mise en place des peines alternatives.