Dans un communiqué, la DGSN dément de manière catégorique les rumeurs contenues dans un enregistrement audio diffusé sur les réseaux sociaux et les applications de messagerie instantanée de téléphones portables et qui évoque une affaire présumée d'escroquerie dans laquelle on utilise des cartes de visite portant une matière biologique ayant un effet de perte de conscience sur toute personne qui la touche.
La Direction générale de la sûreté nationale tient à préciser qu'elle n'avait reçu aucune plainte ou une alerte téléphonique sur des crimes d'escroquerie de ce genre.
Elle assure également que les laboratoires de la police technique et scientifique, ainsi que les techniciens de scène de crime n'ont pas enregistré l'usage d'une quelconque matière biologique dans des crimes d'arnaque ou de fraude.