L’activiste séparatiste Aminatou Haidar était sur le point de propager le Covid-19 parmi les passagers d’un vol programmé ce mercredi 18 novembre au départ de l’aéroport Hassan 1er de Laâyoune, à destination de Las Palmas.
Elle aurait pu également contaminer son fils, Mohamed, testé négatif, qui devait l’accompagner dans ce voyage, n'eût été la vigilance des autorités sanitaires, apprend Le360 de sources aéroportuaires.
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Aminatou Haidar a quitté l’aéroport de Laâyoune après avoir été contactée par un infirmier relevant de la cellule "Covid-19" de la délégation régionale de la Santé. Ce dernier lui a affirmé qu’elle ne pouvait voyager tant qu'elle n’était pas guérie du nouveau coronavirus. Son fils, testé négatif quant à lui, a pu embarquer à bord de l’avion de la compagnie nationale RAM.
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Cherchant à faire diversion et à induire en erreur l’opinion publique, Aminatou Haidar a ensuite diffusé, sur sa page Facebook, un live dénonçant son «interdiction de voyager par les autorités d'occupation sous prétexte qu'elle est porteuse du Covid-19, alors que son fils, porteur de la nationalité espagnole, a été autorisé à embarquer».
Ce comportement irresponsable de la séparatiste sahraouie est doublement condamnable, dans la mesure où il expose à la maladie à la fois les passagers et les membres de l’équipage, mais également son propre fils. Il convient de souligner que cette sortie d’Aminatou Haidar intervient en pleine débandade du tandem Polisario/Algérie suite à l'intervention militaire des FAR, qui ont restauré le trafic routier entre El Guerguerat et la Mauritanie.
Humiliés par le soutien quasi unanime de la communauté internationale à l’intervention vigoureuse du Royaume du Maroc et incapables d’engager un contact sur le terrain, le Polisario et son parrain algérien essaient d’activer leurs relais séparatistes dans les provinces du Sud pour attirer l’attention de la communauté internationale. La manœuvre d'Aminatou Haidar, qui n’a même pas attendu d’être guérie du Covid-19, participe de cette tentative de fronde organisée à l’intérieur du Maroc. Elle atteste de la panique des généraux algériens, pris au dépourvu et incapables de trouver une riposte qui ne soit pas de l’ordre de la propagande et de la fake news.