La circulaire stipule que l’activité de prélèvement, de transformation et d'administration autologue de préparations de thérapies cellulaires, à finalité thérapeutique ou de recherche portant sur ces préparations, ne peut être exercée que dans les Centre hospitaliers universitaires publiques ou privés agrées par le département de tutelle.
En vertu de cette décision, qui intervient après avis du Conseil consultatif de transplantation d’organes humains, le prélèvement et l’administration de ces préparations ne peuvent avoir lieu qu'après un consentement éclairé du patient, affirme le ministère de la Santé dans un communiqué.
Cet agrément est délivré uniquement aux structures concernées, après évaluation de leurs procédés de préparation et de conservation et leurs indications conformément aux règles de bonnes pratiques, précise le communiqué.
Il est à souligner que cette activité est régie par les dispositions de la loi 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d’organe et de tissus humains et de la Loi 28-13 relative à la protection des personnes participant aux recherches biomédicales, conclut-on.