Marrakech: la fondation Ali Zaoua improvise un petit souk pour les habitants

Ce petit souk improvisé dans le centre culturel les étoiles de Jamaâ El Fna a pour objet d’encourager les artistes, et les femmes issus des quartiers avoisinant à écouler leur produits, en leur offrant plus de visibilité.

Ce petit souk improvisé dans le centre culturel les étoiles de Jamaâ El Fna a pour objet d’encourager les artistes, et les femmes issus des quartiers avoisinant à écouler leur produits, en leur offrant plus de visibilité. . Ayoub Ibnou Fasih / Le360 (capture image vidéo)

Il s'agit d'une action solidaire menée par la Fondation Ali Zaoua au bénéfice des femmes et associations locales. Un petit souk improvisé dans le centre culturel Les Etoiles de Jamaâ El Fna a eu pour objet d’encourager les artistes, et les femmes issues des quartiers avoisinant à écouler leur produits, en leur offrant plus de visibilité.

Le 05/04/2022 à 10h58

Inspiré des souks achalandés et colorés de la médina de Marrakech, la Fondation Ali Zaoua a tenu samedi dernier à Marrakech un petit souk au profit des femmes et associations locales au sein de son nouveau hub culturel, sise Riad El Kebir.

Les visiteurs, en particulier les touristes, ont été plongés dans l’ambiance qui règne d’habitude dans les ruelles étroites de la vieille médina, déambulant entre stands, et échangeant avec les vendeurs.

Ce petit souk improvisé dans le centre culturel les étoiles de Jamaâ El Fna a pour objet d’encourager les artistes, et les femmes issus des quartiers avoisinant à écouler leur produits, en leur offrant plus de visibilité.

«Je vends des produits issue des ateliers de la fondation que j’anime au sein de la fondation. Le but étant de valoriser les produits de broderie», explique Zineb, artiste et animatrice au sein de la fondation. D’autres stands sont dédiés aux produits du terroir et objets d’art africains.

Cette action solidaire menée par la Fondation Ali Zaoua s’inscrit dans un programme intense dont la finalité est de promouvoir, entre autres, les arts, l’entrepreneuriat, et la littérature.

Par Ayoub Ibnoulfassih
Le 05/04/2022 à 10h58