Selon une source sécuritaire, les données préliminaires de l'enquête ont révélé que les mis en cause ont commis de graves infractions professionnelles. A savoir, la non-réalisation des investigations nécessaires, la falsification de procès-verbaux officiels, l'inclusion d'accusations fallacieuses dans une procédure relative à une affaire de braquage d'une agence de transfert de fonds, ce qui a entraîné l'accusation d'une employée de cette agence et de son père.
La même source rappelle que le 17 octobre 2012, une somme de 33.600 DH a été volée d'une agence de transfert de fonds à Meknès et que les investigations menées sur cette affaire ont mis en cause une employée de l'agence et son père comme étant les auteurs de ce vol.
Cette accusation a été toutefois réfutée par les investigations menées par la brigade nationale de la police judiciaire après la découverte de fautes professionnelles graves qui ont été commises par les suspects durant l'enquête, précise-t-on .