La coordination syndicale composée des représentants de ces fonctionnaires affiliés à l’Union marocaine du travail (UMT), à la Confédération démocratique du travail (CDT), à l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) et à la Fédération démocratique du travail (FDT) observera une grève nationale les mardi 26, mercredi 27 et jeudi 28 mars, avec présence sur les lieux de travail, retrait et autres formes de protestations selon la situation de chaque région.
La coordination appelle à «la création et l’activation des commissions provinciales des litiges liés aux ressources humaines, l’inclusion des syndicats et l’augmentation générale des salaires d’au moins 2.000 dirhams nets par mois».
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Parmi les autres revendications de la commission syndicale, figure également «l’intégration de tous les titulaires de diplômes non inclus dans les échelons appropriés du secteur avec effet rétroactif administratif et financier, à l’instar de leurs collègues dont la situation est régularisée dans d’autres départements ministériels, dans le cadre du respect du principe d’égalité».
Le dossier revendicatif des syndicats comprend également «le règlement du statut des secrétaires administratifs diplômés des centres de formation administrative», ainsi que «la révision périodique des salaires et l’élaboration d’un nouveau statut pour les fonctionnaires des collectivités territoriales».