Annoncée comme pacifique, la manifestation d’Al Hoceima a fait bien des victimes. Parmi elles, un reporter et un cameraman de 2M qui ont été agressés par des manifestants dès qu’ils ont tenté de prendre les premières images. C’était devant une mosquée d’où est parti l’un des premiers mouvements de foule.
Rappelons que depuis plusieurs mois, les journalistes et reporters des chaînes de télévision publiques sont persona non grata, des leaders du "hirak" les accusant de traitement biaisé des événements d'Al Hoceima.