Le360 a rencontré et interrogé quelques jeunes diplômés, confrontés aux affres du chômage plusieurs années durant, et qui ont tous fait part de leur envie de trouver du travail à Fès, et non d'être obligés de se déplacer ailleurs, de s’exiler vers d’autres villes, loin de leurs proches et de leur famille.
Les Fassis sont pleins d'espérance envers Abdesslam Bekkali du RNI, qui remplace le maire Driss El Azami El Idrissi, du PJD.
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Après le développement des infrastructures et des services publics, les Fassis veulent trouver du travail chez eux.
«La plupart des jeunes de cette ville sont obligés presque systématiquement de quitter Fès, car ils ne trouvent pas de travail ici, et sont recrutés ailleurs, dans d’autres villes», témoigne cet habitant de la ville.
Médecin dans la fonction publique, Abdesslam Bekkali a été élu le 20 septembre dernier en tant que président du Conseil de la ville de Fès. Cet ancien militant du Parti du Progrès et du socialisme a déjà occupé le poste de président de l’arrondissement Jnane El Ouard, entre 2009 et 2015.