Jeudi 29 avril, dans un centre de vaccination anti-Covid du quartier Bourgogne, à Casablanca. Ramadan ou non, c’est toujours la même discipline et le même sens des responsabilités qui règnent, auprès des équipes médicales, comme pour les candidats éligibles au vaccin, avec une priorité accordée, comme l’ont décidé les autorités, aux personnes âgées entre 55 et 60 ans.
Ces personnes se font administrer une première dose du vaccin chinois Sinopharm, les doses du vaccin AstraZeneca, réceptionnées par le Maroc jusque-là, étant à présent épuisées, en attendant d’autres arrivages.
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Pour les éventuels effets secondaires, les responsables de la campagne de vaccination sont toujours très rassurants. «Rares sont les gens qui viennent se plaindre de fièvre ou de maux de tête, mais nous n’avons rien relevé de vraiment grave», déclare Amina Aniba, cadre au ministère de la Santé, et qui dirige le centre de vaccination de Bourgogne.
Rappelons que la campagne nationale de vaccination, après quelques jours de «flottement», a repris sa vitesse de croisière depuis lundi dernier quand le Royaume a reçu 500.000 doses du vaccin chinois Sinopharm.
A hier, jeudi 29 avril, un total de 4.985.094 Marocains et résidents étrangers ont été vaccinés et 4.254.879 ont reçu se sont vus injecter la seconde dose.