Entre faire ses classes ou ses «kalach», elles n’ont pas eu l’embarras du choix. Elles ont troqué leurs études contre l’apprentissage du maniement d’armes aux côtés de «l’Etat islamique en Irak et en Syrie». «Elles», pas moins de vingt étudiantes marocaines naturalisées Françaises qui ont rallié dernièrement l’organisation terroriste d’Abou Bakr Al Baghdadi, plus connue sous cette sinistre dénomination de Daach, révèle Akhbar Al Yaoum, dans son nouveau cru de ce mercredi 5 novembre. Honni soit qui mal y pense: ces vingt étudiantes ne sont pas allées pratiquer le «Jihad sexuel». Paraît-il, leur départ s’inscrirait dans le cadre du «regroupement familial»! «La plupart d’entre elles ont rejoint leurs époux combattant dans les rangs de Daach, alors que d’autres, moins nombreuses, seraient préposées à l’accomplissement de tâches bureaucratiques en fonction de leurs niveaux d’études», dévoile Akhbar Al Yaoum, en précisant que cette information a été confirmée par des sources médiatiques anglo-françaises. Evoquant des «sources concordantes», dont le Huffington Post, Le Guardian et le quotidien Le Monde, Akhbar Al Yaoum indique que le départ des Marocaines de France vers «l’Etat islamique» est intervenu conformément au plan élaboré par un recruteur français d’origine marocaine, le dénommé Mourad Faress, lequel fut extradé de Turquie vers la France en août dernier. A cet effet, les services hexagonaux soupçonneraient ce rabatteur franco-marocain d’être derrière une hémorragie de départs vers «l’Etat islamique» de jeunes strasbourgeois et d’autres d’Avignon, comme ce fut le cas de la mineure d’origine marocaine, Nora, 16 ans. Tout compte fait, elles seraient une centaine de Françaises à avoir rallié, en moins d’un mois, l’organisation terroriste du prétendu «calife» du non moins prétendu «Etat islamique», Abou Bakr Al Baghdadi. «Sur ces 100 Françaises, 25% seraient d’origine marocaine», chiffre le quotidien Akhbar Al Yaoum, en ajoutant que les services français sont parvenus à établir l’identité des femmes émigrées.
Daach, les agents recruteurs tissent leur toile
«Des réseaux de recruteurs s’activent sur les réseaux sociaux pour séduire des candidats au jihad aux côtés de Daach», a alerté le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, cité par Akhbar Al Yaoum. Une alerte certifiée par des médias anglo-français, lesquels mettent en garde contre la disparition de nombreux ressortissants étrangers portant la nationalité française et britannique, dont des adolescentes âgées de 13 ans! Des rapports sécuritaires révèlent en ce sens que ces adolescentes sont souvent victimes d’actes d’escroquerie sur le Net, orchestrés par des agents recruteurs qui leur font miroiter moult promesses de trouver leurs «princes de rêve», en Irak et en Syrie! Ironie du sort, une fois enrégimentées, ces victimes sont récupérées par une certaine «Oum Al Maqdad», qui dirige une phalange de 200 combattantes préposées à l’exécution d’opérations kamikazes!
Les femmes détenues vendues au rabais!
«L’Etat islamique a diffusé un communiqué dans lequel il fixe les prix de vente de prisonnières de confession chrétienne et yézédite», révèle Akhbar Al Yaoum, en publiant une copie de ce communiqué portant le macabre cachet de «l’Etat islamique». «Daach a affirmé, via sa revue «Dabaq», avoir fait don de nombreuses chrétiennes et yézédites à ses combattants, exprimant sa fierté d’avoir réhabilité la pratique de l’esclavage», enchaîne le quotidien, en relevant que cette «fierté» est exprimée de manière «Net» sur les réseaux sociaux par les combattants du terroriste Abou Bakr Al Baghdadi. Du haut de leur crasse ignorance, ces fous illuminés croient que cette pratique infamante s’inscrirait dans le droit fil de la loi islamique (Charia). Dieu ce que c’est fou!