La gouvernance des clubs des Botola Pro 1 et 2 a de tout temps été pointée du doigt. Le cumul des cas de litiges devant la FIFA ou le TAS a augmenté de manière significative, en même temps que se sont succédées les sentences, mettant en lumière un mode de fonctionnement obsolète et indigne d’un football arrivé 4ème lors de la dernière Coupe du monde.