Tous les articles correspondant à #Ben Battouch

Dar Lkabranate. EP-117. Ben Battouche appelle Chengriha à «revenir à la raison» et à reconnaître la marocanité du Sahara
La reconnaissance française de la marocanité du Sahara a été ressentie comme une véritable gifle par la junte militaire au pouvoir en Algérie. Anticipant la fin d’un conflit qui n’a que trop duré, financé à coups de milliards et longtemps entretenu par leurs soins, Chengriha et son état-major tentent de sauver leur honneur perdu, n’excluant pas d’emboîter le pas aux États-Unis, l’Espagne et la France, et de reconnaître à leur tour la souveraineté du Maroc sur son Sahara.
L’œil de Gueddar. Isolé sur la scène internationale, Ben Battouche appelle la Mauritanie à la rescousse
L’œil de Gueddar. Ni Ghali, ni Ben Battouche: pour honorer ses dettes, il n’y a plus personne
Dar Lkabranate. Ep-84. Chez les caporaux, un ministre vaut moins qu’un sac de patates
Vous souvenez-vous de Mohamed Abdelhafid Henni, ministre algérien de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche maritime? Évidemment que cela ne vous dit rien. Le pauvre a été limogé pour avoir mal géré la «crise des pommes de terre» et ce n’est pas une blague. Du reste, les caporaux se marrent toujours des exploits du «Cadre» lors de sa visite historique à Tindouf.
Tindouf: le chef du Polisario s’offre un palais à 3 millions de dollars, érigé sur les cadavres des séquestrés
Alors que les séquestrés souffrent le martyre dans les camps de Tindouf où les aides humanitaires sont constamment détournées par les chefs des milices du Polisario, pas moins de trois millions de dollars ont été dilapidés pour construire un «palais» au mercenaire «Ben Battouche». Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.
Dar Lkabranate-EP-22. La facture à la sauce harissa de l’accueil réservé par Kaïs Saïed à Ben Battouch
Fidèle à son arabe classique châtié, Kaïs Saïed est passé rendre grâce aux caporaux d’Alger, à leur tête Saïd Chengriha, et récupérer ce qui reste des 600 millions de dollars qui lui sont dus de la transaction «accueil de Brahim Ghali contre nourriture». Si seulement les Algériens savaient ce que leur coûte une cause qui n’est (même) pas la leur...